dimanche 15 avril 2018

Ecrire en Mai 2018 - 25, 26 et 27 mai

Organisation :
Ass. Porte-Voix (Bages) en partenariat avec Ass. Luciole (Lagrasse)
Pour toutes informations complémentaires :
portevoix1@free.fr ou Jean : 04.68.41.10.56 - 06.21.36.56.48
Déroulement du programme :
A Narbonne
Vendredi 25 mai : journée professionnelle - Inscription libre mais nécessaire (par courriel si possible) - Lieu = MJC Narbonne - Voir programme ICI
A Bages
Vendredi 25 mai à 21 h : rencontre avec Tatiana Arfel - Entrée libre     
Samedi 26 mai matin et après-midi et dimanche 27 matin : ateliers d'écriture
Samedi 26 à 21h : Bal à Lire ICI
Dimanche 27 après-midi : rencontre entre ‘écrivants’ - Espace Louis Daudé - Entrée libre
Pot d’adieu à 17h
  • L’inscription préalable aux ateliers d’écriture est indispensable
  • Vous pouvez vous inscrire par courriel en téléchargeant puis envoyant le bulletin d'inscription par mail à portevoix1@free.fr puis en envoyant le règlement par la poste à l'adresse indiquée sur le bulletin d'inscription.
  • Avant de vous inscrire il est conseillé de vérifier ICI s'il reste des places dans les ateliers de votre choix
  • Conditions de participations ICI et en bas de page
  • Infos hébergement ICI
Si vous souhaitez recevoir la brochure papier, laissez votre adresse postale à : portevoix1@free.fr.
Ecrivain invité : Tatiana Arfel
Ci-dessous liste des ateliers d'écriture proposés.
 
Samedi 26 – Accueil à partir de 8h30 à l’Espace Louis Daudé (café, croissants)
 
Ateliers journée entière du samedi de 10 h à 17h30
 
1. Réjane Meilley-Céglia : Voyage en terres improbables
Découvrir les lieux pour planter le décor. Puis vient le voyage, les sites visités, l’aventure à écrire, unique. Je vous propose de parcourir le monde en cheminant sur votre feuille, de vivre l’aventure qu’aucun écrivain n’a pu raconter. Une journée d'excursion pour que les textes se croisent, rencontrent quelques auteurs connus sur leur chemin, se mêlent pour des itinéraires (en terres) improbables.
 
2. Lionel Roubin : " Dehors, ce qui ne cesse d'arriver, avoisine."
" C'est lorsque tu chantes pour toi que tu ouvres pour les autres l'espace qu'ils désirent." E. Guillevic. ... Un chantier d'écriture maintenu ouvert pour soi, et ce faisant, pour les autres!
Des ouvrages de référence: 
- " Poète, mœurs et confins " de Christian Doumet, éditions Champ Vallon, 
- " Il y a poésie " de Mathias Lair, éditions Isabelle Sauvage, 
- " Sur le métier " de Jean-Pascal Dubost, éditions Isabelle Sauvage, 
- " Les mots ne meurent pas sur la langue " de Gilles Plazy, éditions Isabelle Sauvage, 
- " Prolégomènes à toute poésie " de Stéphane Crémer, éditions Isabelle Sauvage, 
 - " Pour la littérature " de Cécile Wajsbrot, éditions Zulma.
 
Ateliers samedi matin 10h à 13h
 
3. Mireille Bloyet : La ville, à commencer par son nom
La ville inspire toutes sortes de fictions, des plus réalistes aux plus débridées, des plus lisses aux plus secrètes. Nous allons entrer dans la ville, à commencer par son nom, choisir des éléments de ses divers paysages, évoquer ses mouvements, ses flux, les sensations qui en découlent, tâcher à dire le visible et l’invisible... on procédera par fragments en vue d’une construction imaginaire.
Références ; Villes invisibles de Italo Calvino - Coquelicot et autres mots que j’aime de Anne Sylvestre
 
4. Marie Carré : "encre les mots"
Je travaillerai avec et à partir d'encres aquarelles qui nous serviront de déclencheurs pour laisser libre court à l'imaginaire et aux  mots, un moment de lâcher prise et d'échange qui donnera lieu à des textes courts et colorés.
 
5. Faby Deligny : « L’art et la manière de mener l’enquête au musée… »
Je propose de composer une Musée Imaginaire... Comme une flânerie, un cheminement suggéré par le travail photographique de Gérard Rondeau. Hommage à cet artiste trop tôt disparu.
 
6. Françoise Forcioli : « Écrire « la nuit ».
Parce qu’elle détient une forte dimension symbolique, la nuit suscite bien des ambiguïtés d'interprétation. Cette symbolique ouvre la voie vers un autre monde irrationnel opposé à l'action, à l'effort du travail, du quotidien. Elle est celle de l'autre face de la réalité et de la vie, le domaine de la pensée magique, du sentiment de l'ailleurs, comme si nous avions les pieds sur terre et la psyché dans un au-delà. Les poètes, les peintres, les romanciers ont célébré le pouvoir onirique de la nuit. « C’est poétiquement que l'homme habite la nuit» écrit le poète Hölderlin. C’est à ce voyage là que je vous invite à partir en sollicitant notre imaginaire et en s’accordant un temps de contemplation et de rêves.
 
7. Marieke Hazard : Haïkus et écriture brève au rythme de la marche, sur le fil du rivage !
 
8. Claire Musiol : Quand la vie devient conte
Les contes forment la matière des premiers récits qui nous constituent et nous enseignent. Le temps des contes est-il pour autant révolu? Ne restons-nous pas nourris et influencés par leurs histoires? Quand on prend le temps de regarder, la réalité n'est-elle pas perméable aux récits de notre enfance?
Pour cet atelier, je propose d'entrer de plein pied dans l’imaginaire, de rejoindre les contes de notre enfance et d’ailleurs, de faire pont entre deux mondes.
Livres pour l'atelier: les contes de Perrault et de Grimm, Psychanalyse des contes de fées de Bruno Bettelheim, récits et fables d'ailleurs - www.clairemusiol.com

9. Marie Claude Ricurt : carnet de voyage d’un pays imaginaire. (Les ados intéressés sont les bienvenus.)
Nous irons à la découverte des merveilles du  monde imaginaire ethnographique offertes par François Place, fabuleux écrivain illustrateur,  au travers de son œuvre, principalement L’atlas des géographes d’Orbae. Vous en deviendrez un insatiable  voyageur  et ferez  partager vos aventures par l’écriture d’un carnet de voyage. Références : « L’Atlas des géographes d’Orbae » ; François Place, illustrateur, ou « Comment s’invente un livre » par François Bon.
 
 
Ateliers samedi après-midi 14h30 à 17h30
 
10. Brigitte Alglave : Écrire la ville, réinventer la ville, comme partir à la recherche de quelqu'un, quelque part.
L'écriture pour se recomposer un chemin dans la ville, en saisir toute sa force et sa poésie, se laisser guider par des fractions de réalité, par le biais d'images rencontrées, de silhouettes croisées, mémorisées, oubliées, jadis ou il y a un instant. Déambuler dans un voyage où passé et présent finissent par se rejoindre. Sans omettre de faire un petit clin d'œil à Bages... .
Avec la complicité de François Bon, Henri Michaux, Blaise Cendrars, et les messagers contemporains de la ville.
 
11. Tatiana Arfel : Non!
Un atelier où trouver sa langue propre sera un moyen de résistance aux langues froides qui nous entourent, où nous explorerons nos "nons", nos engagements, nos désirs et nos utopies, à travers des propoMartinesitions ludiques et fictionnelles, dans un climat chaleureux, et sans s'inquiéter des fautes d'orthographes et des incorrections, bien au contraire, créons nos mots!
 
12. Richard Beugné : Recette souvenir.
Vous avez un(e) invité(e) et vous souhaitez lui cuisiner un plat original. Vous pensez à un plat qui, dans votre passé, vous a marqué pour une raison ou une autre, et qui fait remonter des souvenirs d’ordre personnel (positifs ou négatifs).
Description des ingrédients, élaboration de la recette, mais aussi remémoration, rêverie, rumination… l’intérêt de ce 'mitonnage' d'écriture est d’entrelarder votre texte de remémorations, sentiments (ou ressentiments), sensations agréables ou non, réflexions douces ou amères - le tout assaisonné de nostalgie, d’envie de bien faire, de plaisir de partager et de plaire. Ou tout l’inverse, dans le cas où ce plat aurait le goût de la vengeance… Ce qui est également possible.
13. Martine Imhoff – Marc : Face à l’Histoire
Alexandre Dumas dit qu'on peut violer l'Histoire pourvu qu'on lui fasse de beaux enfants ! La liaison entre l'Histoire et la littérature ne fait aucun doute et le dernier Goncourt d’Eric Vuillard (l’ordre du Jour) vient encore le confirmer. Aussi pourrions nous essayer ensemble d’exploiter l’Histoire comme source de fiction et puiser dans la richesse de ses éléments matière susceptible de répondre à nos interrogations. 
 
14. Valéry Meynadier : Casser du mot !
" Casser du mot, c’est possible, dire Non c’est possible… pour mieux dire oui après autour d’un verre dans un café improvisé, ( on pousse les tables, & hop le café apparaît) raconter une histoire.
Dans un premier temps, écrire sans écrire, via des textes d'Antonio Lobo Antunes, Thomas Bernhard, etc. Deuxième temps, entre les mots, écrire. Dans le temps final, dire. Parce que écrire c'est dire Non entre tel mot & tel autre mot.
& qu'il se pourrait que les mots s'amusent à nous choisir."
 
15. Élodie Paul : "Écrire votre Histoire" 
L’écriture, par le choix et l’agencement des mots, met en lumière le lien unissant les événements, les rencontres, les lieux … et donne du sens à la diversité éclectique de notre vie. C’est comme reconstituer un puzzle qui nous dit que chacun a sa place dans la longue caravane des générations. Écrire son histoire, c'est aussi pouvoir la transmettre aux générations suivantes. Si les faits sont traduits en enseignements, si l’on fait des souvenirs une ressource dans laquelle puiser des outils et des forces, écrire son histoire devient un témoignage qui peut aider l’autre. http://www.interligne.pamoison.fr
 
16.  Thérèse Pistis : De la silhouette esquissée d'une personne réelle au personnage de fiction.
Le témoignage littéraire est une vérité subjective. A partir de témoignages anonymes de migrants recueillis dans divers documents, faire le portrait d'un demandeur d'asile en comblant l'insuffisance de sa biographie par la fiction, il s'agit de penser son témoignage dans une perspective littéraire, de combler les manques par l'imaginaire, de réécrire son vécu de l'exil pour qu'on l'entende autrement, de produire un texte hybride tendu entre objectivité et subjectivité, d' une véracité autre que la description méticuleuse des faits. Un texte de fiction qui porte le poids du réel. 
 
17. Michel Tozzi : atelier philo "Comment se situer par rapport à son héritage ?"
L’héritage est une transmission à plusieurs origines, assimilée en partie inconsciemment, et plus ou moins acceptée ou rejetée consciemment. Que faisons-nous de ce qui nous a fait, entre déterminisme et liberté ?
Nous procèderons en plusieurs étapes, pour réfléchir collectivement et individuellement à cette question : introduction de la problématique, écriture individuelle, discussion collective, écriture individuelle et lecture de nos textes…
Michel Tozzi, animateur de l’atelier philo de l’Université populaire de Narbonne et du café philo de Narbonne
 
Ateliers dimanche matin 10h à 13h  
(Accueil à partir de 8h30 à l’Espace Louis Daudé)
 
18. Claire Bouchet : Jeux d’écriture livresques
Le livre-objet familier et rassurant, ancré dans le quotidien, le livre-histoire à raconter avant de s’endormir, le livre-titre qu’on a sur le bout de la langue, le livre-voyage pour une aventure intérieure, le livre tout court qu’on emporte partout.
Le livre comme prétexte à des écritures spontanées, seul, à deux ou à plusieurs.
Quelques pistes pour nourrir votre imagination ?
- Et si l’on choisissait un rapprochement inhabituel pour décrire l’objet livre ?
- Pourquoi ne pas mêler des extraits d’ouvrages différents pour composer un texte personnalisé ?
- Se donner des pistes pour imaginer une mini-fiction, à partir du genre littéraire de son choix (policier, science-fiction, roman à l’eau de rose, etc.)
 
19.Dominique Cabrol : Écrire et marcher
« La page blanche prolonge agréablement les sentiers des pas. » David Le Breton. Randonner c’est vagabonder, sentir la terre sous ses pas, découvrir de nouveaux horizons au détour d’un col ou d’une clairière et s’étonner de chaque pas. L’atelier d’écriture invite les marcheurs ou les promeneurs immobiles à s’arrêter quelques instants sur cette expérience de la marche et à laisser une trace du parcours. De la carte IGN au carnet de route ou au croquis, du récit au poème, chacun peut inventer un moyen de garder en mémoire un morceau de ce chemin. Nous utiliserons pour cela des photos, des éléments de la nature (roches, écorces, bois, végétaux) et aussi le papier et le crayon.  Références : Quelques phrases prises dans des textes de Sylvain Tesson, David Le Breton, et d’autres, nous serviront d’appui lorsque la main se fera lourde ou rétive. 
 
20. Valérie Chevalier : "Parapluie et parenthèses"
Au quotidien, dans nos écrits, du très concret jusqu’à en faire philosophie, de l’usage des parenthèses et du parapluie dans nos vies.  Accessoires pas si accessoires….
 
21. Lionel Hignard : La suite de mes aventures fantastiques (Avec Jules Verne comme témoin)
A partir d’éléments historiques du 19ème siècle, textes et iconographie, des cartes postales, photographies …témoignant de la réalité de l’époque , …. plusieurs chroniques naturalistes relatant l’étrange et pourtant véridiques sont présentés. Il s’agit de prolonger l’aventure proposée par écrit.
Quelques exemples de fragments de textes :. Bal sur une souche de séquoïa géant …, se tenir debout sur une feuille de nénuphar géant ( vu au museum de Londres), la découverte du phasme, l’attaque des arbres, vol des graines du caoutchouc hévéa .. … Chacun aura un texte source au choix.
Éléments extérieurs : panier de mots, dico et expressions, tous éléments du contexte historique mis à la disposition de l’écrivant.Il s’agit d’entrer dans la narration de fiction et découvrir les contraintes du roman, contextes historiques et anachronismes, humour et esprit d’une époque. Un véritable voyage dans le temps.Sources principales : A partir de mon ouvrage : « l’herbier fantastique » ed Plume de carotte
 
22. Monique Nicque : Joseph Delteil
Disparu en 1978, Joseph Delteil, ce poète languedocien qui savait extraire la jouissance d'un rien mérite amplement d'être découvert pour les uns, retrouvé  pour les autres, comme un ami trop longtemps oublié. Cet atelier a pour objectif de nous faire voyager, à travers la nature et la langue des Corbières, sur les pas du poète.
Bibliographie : La Deiltheillerie, Sur le fleuve Amour et Choléra (Les Cahiers Rouges - Grasset)

23. Rose-Marie Mattiani : Écriture à dess(e)in : Jeux d’encre
« Les taches, c'est une provocation. J'y réponds. Vite. Il faut faire vite, avec ces grandes molles, capables de se vautrer partout. C'est tout de suite, la minute de vérité. » Henri Michaux. Chacun sera invité selon son désir à estomper ou animer la paresse du blanc afin d’élaborer sa propre cartographie à partir de taches d’encre, « cette noirceur qui fait de la lumière » selon Victor Hugo. Enthousiasmes de tous les possibles, ces taches et graphisme aléatoires en noir et blanc ou en couleur se prolongeront en signatures, mots, phrases et textes. Un atelier d’aller-retours entre arts plastiques et écriture qui prend appui sur des textes de Henri Michaux, L'Homme qui rit de Victor Hugo, L'espérance de l'encre de Michel Butor, entre autres écrivains-peintres…
 
24. Anne Sacramento : Traces écrites (calligraphie)
Création de cartes à géographie sensible : «  je suis Ici »
. A partir de Traces réalisées avec des éléments naturels trouvés sur place ( aiguilles de pins et autres…),
. Réalisation de minuscules paysages oniriques.
. Dessin ou collage d’un point de position
. Recherche d’un nom et éventuellement d’une anecdote en lien avec ce paysage en partant de « je suis Ici »
. Calligraphie du nom du lieu et écriture du reste de l’histoire avec insertion de lettres calligraphiées.
 
25. Lyne Strouc : « Coups de gueule pour tenir debout »
Rebelles de tout poil, anges ballottés sur le radeau des impostures, grugés impuissants aux plumes acérées, cet atelier est un hygiaphone littéraire géant où vous pourrez à loisir vous épancher, bafouer le consensus en toute impunité et concocter de petits bijoux protestataires éminemment poétiques… Franchement, ça fait un bien fou !
 
Conditions de participation
Inscription préalable indispensable à tous les ateliers (Pas plus d'un atelier par demi-journée bien sûr.) - bulletin d'inscription -
L’adhésion à l’association est automatiquement comprise dans l’inscription
Accueil à l’espace Louis Daudé à Bages à partir de 8h30 le samedi matin autour d’un café.
Forfait WE - 3 ateliers : 3 demi-journées d'atelier + soirée du samedi + 2 repas : 60 €
Forfait WE - 2 ateliers : 2 demi-journées + soirée + 2 repas : 55 €
3 demi-journées d'atelier : 30 €
2 demi-journées : 22 €
1 demi-journée : 12 €
Tarif enfants moins de 15 ans : 6 € par demi-journée
Soirée Bal à Lire : 10 €
Repas auberge Ecrire en Mai : 14 €
Restauration - Hébergement :
Samedi midi : sandwiches en vente dans le village ou restaurant aux alentours et/ou pique-nique perso.
Samedi soir : proposition repas auberge Ecrire en Mai (sur place)
Dimanche midi : proposition repas auberge Ecrire en Mai (sur place)
Hébergement : contacter le syndicat d’initiative de Bages (Romain) : 04.68.42.81.76 - sibages@sfr.fr (Ouvert du mercredi au dimanche)
Déroulement du programme
Vendredi 25 mai : journée professionnelle - Inscription libre - Lieu = MJC Narbonne
Voir programme ICI      
Samedi 26 mai matin et après-midi et dimanche 27 matin : ateliers d'écriture
Samedi 26 à 21h : Bal à Lire ICI
Dimanche 27 après-midi : rencontre entre ‘écrivants’ - Espace Louis Daudé - Entrée libre
Pot d’adieu à 17h
Pour toute information : portevoix1@free.fr ou Jean : 04.68.41.10.56 - 06.21.36.56.48
 

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